Un réseau saturé
Trop de photovoltaïque
dans une rue ou un quartier entraîne une saturation du réseau et un
arrêt d’une ou plusieurs de ces mini-productions locales. C’est souvent
le premier arrivé qui se retrouve pénalisé par le dernier. Le
développement de l’énergie renouvelable, par le photovoltaïque, a donc
lui aussi ses limites techniques.
Le couple s’est depuis raidi contre Orès :
« On a l’impression
qu’Orès ne veut rien faire pour nous. À leur refus de solutionner le
problème s’ajoute la perte de notre dossier, à trois reprises, avec la
conséquence que nous ne disposons pas encore de nos codes d’accès auprès
de la Cwape (le régulateur d’énergie).
On en vient à se demander si Orès ne met pas volontairement des bâtons dans les roues de la production d’énergie verte ? » s’interroge-t-il.
Sans aller jusque-là, Orès, filiale des intercommunales de
distribution de gaz et d’électricité, est seule sur le marché. Et un
monopole, malheureusement, va rarement de pair avec un service optimal à
la clientèle.¦
lavenir.net http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20120510_00157071
