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samedi 31 décembre 2005
EOLIENNES : en Belgique OUI - NON ?
Le parc éolien belge produit actuellement environ 0,4 % de nos besoins en électricité. Avec un taux de croissance avoisinant les 40 % en 10 ans, la Belgique comble le retard pris sur ses voisins. Nous sommes cependant encore loin des records allemand (4 %), espagnol (6 %) ou danois (20%). Pourquoi miser sur le développement éolien ?
lire l'article (en PDF)
mardi 13 décembre 2005
Nationalisation de l'énergie éolienne
Par Econome en énergie, mardi 13 décembre 2005 à 09:40
http://www.energetique.info/?2005/12/13/127-nartionalisation-de-l-energie-eolienne-canadienne
samedi 10 décembre 2005
Participation "citoyenne" dans des éoliennes... en France
«Les gens ont bien compris l'intérêt de cette démarche pour le territoire», se félicite François Pélissier, PDG de la société Erelia et promoteur du projet. « Et puis ce qu'on propose n'est pas ridicule : 7 % de dividendes garantis par an, c'est quand même pas mal.» Pour ériger ses 16 éoliennes réparties sur trois crêtes à 350 mètres d'altitude au milieu d'une zone rurale où dominent agriculture et élevage laitier, Erelia s'est appuyée sur une charte qualité dont François Pélissier résume la philosophie par la formule «partage du paysage, partage des richesses».
Equitable. «Au moment du choix de l'implantation des éoliennes, nous avons, par exemple, proposé un protocole global qui permet un partage le plus équitable possible des indemnités entre les propriétaires», explique François Pélissier. «Celui qui possède le terrain où l'on monte l'éolienne ne perçoit pas 100 % des indemnités, mais 70 %. Les 30 % vont aux voisins, s'il y en a, dans un rayon de 80 mètres.»
C'est le même principe qui a guidé le recours à l'actionnariat des acteurs locaux, dont le nombre a été limité à 99 afin d'éviter la lourde procédure d'information prévue par l'Autorité des marchés financiers lorsqu'une opération d'appel public à l'épargne concerne 100 personnes et plus.
Sur les 35 millions d'euros nécessaires au financement du projet, 80 % sont couverts par un emprunt bancaire et 10 % proviennent du Fonds d'investissements de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Fideme).
«Après l'apport des investisseurs de départ, il fallait encore trouver 1,8 million d'euros», raconte François Pélissier. Originaire d'Igney, il a mis à profit sa connaissance du terroir et son réseau de relations pour convaincre un nombre suffisant d'actionnaires. «La moitié a mis moins de 100 000 euros et 10 % plus de 40 000. Ce sont uniquement des particuliers et 90 % d'entre eux habitent dans les deux communautés de communes concernées par le projet.»
«Beaucoup parmi les actionnaires sont des agriculteurs. Moi, j'ai toujours été proche de la nature», explique Jean-Luc Pierrel, 54 ans, un habitant d'une commune proche d'Igney. En 2001, il a été licencié de chez Bata. Quatre ans plus tard, il a décidé d'investir «une partie de [ses] indemnités dans le projet Erelia plutôt que de la laisser aux organismes financiers traditionnels qui ne garantissent qu'un rendement de 2 % par an. Et c'est vrai que l'éolien, c'est la solution idoine contre l'effet de serre». Avec 32 MW installés, Erelia devrait fournir au réseau EDF l'électricité nécessaire pour alimenter 40 000 personnes, soit une économie en CO2 de 45 000 tonnes par an.
Clé de l'acceptation. Fort de cette première expérience de financement local et citoyen de l'énergie éolienne, François Pélissier estime avoir «fait la démonstration qu'en France on peut avoir des projets intéressants et qu'il faut toujours réfléchir en fonction du territoire où l'on veut s'installer».
Rappelant que «l'installation d'éoliennes modernes n'est pas un acte d'aménagement anodin», les promoteurs du projet Welf – pour Wind Energy Local Financing (1) – estiment que la participation financière des riverains «est un facteur clé de l'acceptation» et constitue «le stade ultime de l'implication locale en symbolisant un engagement très concret de la population dans le développement durable». En France, poursuivent-ils, «on constate un manque évident d'outils financiers que les établissements bancaires ou assimilés pourraient offrir, tant pour la collecte des fonds que pour l'accompagnement du montage et de la réalisation de projets faisant appel à l'investissement citoyen».
Ces outils sont beaucoup plus développés au Danemark et en Allemagne, où plus de 16 000 MW étaient installés fin 2004, contre 436 de ce côté-ci du Rhin, selon l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie. Sans doute la preuve que l'expérience d'Igney mérite d'être renouvelée.
(1) www.welfi.info/fr : participation citoyenne dans le financement des parcs éoliens.
Source : Pactole citoyen pour le parc éolien par Thomas Calinon (Libération - 10.08.05)
http://fsl33.apinc.org/bb/viewtopic.php?t=949
NdR : Il faudrait nuancer cette vision quelque peu idyllique de la "participation citoyenne" :
a) elle ne représente que 10% du projet
b) elle repose sur l'actionnariat de ceux qui ont une épargne suffisante leur permettant d'avoir un rendement supérieur aux dépôts du livret A. Cela renforcera l'écart entre riches et pauvres : 7% aux uns contre 2% (voire 0% pour la majorité) aux autres. Bonjour le "partage des richesses" et l'équité !
Voir aussi sur le site de l'ADEME (Agence gouvernementale De l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie), Suivi éolien > Insertion Sociale et Territoriale des Eoliennes : Partie 2 (PDF - 1 Mo), fiche 13 : L'éolien participatif en Bretagne => participation à ... une SARL !
c) la participation des collectivités territoriales est étrangement absente, alors qu'on a vu l'investissement important que ces dernières fournissent au nucléaire, ceci avec l'appui des élus PS, Verts et PC ! : Groupe Verts - Conseil Régional d'Aquitaine : Mégajoule et ITER => Petawatt "La Région Aquitaine donne 10 M€"
d) L'Etat n'accorde que très peu aux énergies alternatives alors qu'il consacre des sommes pharaoniques pour le nucléaire : un seul réacteur EPR coûtera 3 à 4 milliards d’€, le LMJ 5 milliards d'€ (cf. Dossier Mégajoule), Iter 12 milliards d'€ !
vendredi 9 décembre 2005
Énergie éolienne : la source d'électricité qui grandit le plus rapidement au monde
Les questions d'énergie revêtent une importance cruciale pour l'environnement de notre planète. À l'occasion de la Journée de la Terre 2005 - le 22 avril - le « Washington File » publie une série d'articles sur les énergies renouvelables, facteurs de plus en plus prometteurs dans les calculs énergétiques.
Washington - L'énergie éolienne, la technologie qui utilise le vent pour produire de l'électricité, est la source d'électricité qui grandit le plus rapidement à l'échelle de la planète. Selon les experts, pour que cela continue, il va falloir un gros effort de recherche-développement et l'engagement des gouvernements de donner à cette technologie une base économique sure.
L'ère de l'énergie éolienne a commencé à la fin des années 70 et les premières éoliennes productrices d'électricité sont apparues en Californie dans les années 80. Aujourd'hui, selon Charles McGowin, chef de la section électricité éolienne à l'Electric Power Research Institute (EPRI) - centre indépendant de recherches environnementales et énergétiques à but non lucratif dans l'intérêt public, ce secteur grandit au rythme de 20 à 30 pour cent par an à l'échelle mondiale.
« Il grandit, affirme-t-il, parce qu'il est devenu la source d'énergie renouvelable la plus économique du fait de la croissance importante du marché ».
« Dans les années 80, il en coûtait 40 cents (0,40 dollar) pour produire 1 kWh d'électricité avec le vent » rappelle Robert Thresher, directeur du Centre national de technologie éolienne du National Renewable Energy Laboratory (NREL) (Colorado) qui relève du ministère américain de l'énergie. « Aujourd'hui, il n'en coûte plus que de 4 à 6 cents par kWh : nous avons donc réduit le coût de l'énergie éolienne d'un ordre de magnitude au cours des deux dernières décennies », ce qui la rend concurrente de certaines des technologies conventionnelles.
Technologie de l'énergie éolienne
L'électricité éolienne est produite avant tout par d'énormes hélices à trois pales installées en haut de tours très hautes et qui fonctionnent comme des ventilateurs à rebours : au lieu d'utiliser de l'électricité pour produire du vent, elles utilisent le vent pour produire de l'électricité.
Le vent fait tourner les hélices qui actionnent un arbre relié à un générateur et ce mouvement de rotation produit de l'électricité. Les éoliennes à l'échelle industrielle sont en mesure de produire de 750 kilowatts à 1,5 mégawatt ; les foyers, les antennes paraboliques de télécommunications et les pompes à eau utilisent de petites éoliennes produisant moins de 50 kilowatts.
Les éoliennes à trois pales fonctionnent par vent debout - les pales font face au vent - alors que les éoliennes à deux pales fonctionnent par vent arrière.
Au cours des deux dernières décennies, la recherche-développement a considérablement changé les éoliennes.
Selon M. Thresher, « en 1984 ou 1985, le rotor (hélices et nacelle) était de l'ordre d'une vingtaine de mètres de diamètre. Aujourd'hui, le diamètre du rotor est de l'ordre de 100 m : nous avons donc des hélices dont la rotation couvre une superficie de la taille d'un terrain de football. L'envergure d'une éolienne actuelle est supérieure à celle des ailes d'un (avion) 747. »
Dans les parcs (ou fermes) d'éoliennes, les groupes de turbines sont reliés les uns aux autres pour produire de l'électricité pour le réseau : les lignes de transmission et de distribution l'amènent ensuite aux consommateurs.
Etablissement de parcs d'éoliennes
Les meilleurs endroits où implanter des parcs d'éoliennes sont ceux où soufflent souvent des vents forts. Le NREL prépare des cartes de vent des diverses régions du monde, qui incorporent la vitesse du vent fondée sur des mesures prises au long de l'année dans les stations de suivi et sur des estimations fondées sur des modèles météorologiques.
Pour les implantations spécifiques, on utilise la vitesse moyenne annuelle du vent pour calculer la quantité d'énergie au mètre carré de surface fournie par le vent soufflant dans le rotor d'une éolienne. À partir de ce calcul de l'énergie potentielle du vent, on peut donner une note de force du vent de 1 à 7 (7 étant la note la plus élevée) à des zones d'une superficie de l'ordre de 2.000 à 3.000 mètres carrés. Les concepteurs utilisent ces informations pour déterminer les meilleurs endroits dans lesquels installer des éoliennes.
Les sites ayant des vents de classe 3 ou plus sont des candidats possibles pour des implantations de parcs éoliens. Dans les sites ayant des vents de classe 2, on peut envisager s'installer de petites éoliennes.
Des cartes de vent sont aussi établies par les Nations unies. Le « Solar and Wind Energy Resource Assessment » (SWERA = Évaluation des ressources en énergie solaire et éolienne) est un projet lancé il y a quatre ans pour cartographier les ressources solaires et éoliennes de 13 pays en développement. À ce jour, l'enquête a découvert des milliers de mégawatts potentiels d'énergies renouvelables en Afrique, en Asie, en Amérique du Sud et en Amérique centrale.
Selon un communiqué de presse des Nations unies, le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) coordonne les activités du SWERA pour plus de 25 institutions situées partout dans le monde.
Les résultats du projet de cartographie ont permis de lancer des activités dans plusieurs pays, dont le Nicaragua, le Guatemala et le Sri-Lanka. Au Ghana, plus de 2.000 mégawatts potentiels d'énergie éolienne ont été découverts, avant tout le long de la frontière avec le Togo.
SWERA a également lancé des enquêtes au Bangladesh, au Brésil, en Chine, à Cuba, au Salvador, en Éthiopie, au Honduras, au Kenya et au Népal. Aux États-Unis, les institutions partenaires de SWERA comprennent entre autres le NREL et la NASA.
Une popularité internationale croissante
Selon M. McGowin, en tant que secteur industriel, l'énergie éolienne grandit à l'international. Les principaux fabricants de turbines sont danois mais on en trouve aussi en Inde, en Allemagne, en Espagne et au Japon.
En matière de capacité installée d'électricité éolienne, ajoute-t-il, « l'Allemagne vient de loin en tête avec 17.000 mégawatts sur un total de plus de 47.000 mégawatts de capacité installée à l'échelle de la planète ; l'Espagne vient en deuxième place et les États-Unis en troisième ».
Selon M. Thresher, du NREL, le Protocole de Kyoto - accord international signé par 141 pays qui vise à réduire les émissions de dioxyde de carbone et de cinq autres gaz à effet de serre - encourage le recours à l'électricité éolienne dans les pays européens où les gouvernements subventionnent l'augmentation de la capacité installée éolienne.
Le Protocole de Kyoto, amendement de la Convention-cadre des Nations Unies sur le changement climatique, est entré en vigueur le 16 février. Les États-Unis n'en sont pas signataires.
Aux États-Unis, poursuit M. Thresher, la capacité installée d'électricité éolienne est de 6.700 mégawatts pour une demande totale d'électricité de 800.000 mégawatts.
« Aujourd'hui, continue-t-il, le vent fournit moins de un-demi pour cent des besoins totaux d'électricité. Par comparaison, il satisfait environ 20 pour cent des besoins en électricité du Danemark et quelque 6 pour cent de ceux de l'Allemagne. »
Implantations en mer d'éoliennes
Tous les pays européens disposent d'une certaine capacité installée d'électricité éolienne, mais, comme le fait remarquer M. Thresher, certains commencent à ne plus avoir de place pour installer des éoliennes terrestres.
« Maintenant, ils commencent à construire des éoliennes en mer. L'Union européenne envisage d'installer 50.000 mégawatts d'électricité éolienne en mer, en eau peu profonde, d'ici 2025. »
Les éoliennes offshore, actuellement dans les premiers stades de leur développement, sont plus coûteuses et plus difficiles à installer et à entretenir que les éoliennes construites sur la terre ferme : elles doivent être stabilisées pour survivre aux vagues et aux coups de chien et protégées contre leur environnement corrosif. Elles présentent cependant deux avantages par rapport aux éoliennes terrestres : elles peuvent être plus grandes et donc produire plus d'électricité et les sites océaniques sont en général plus venteux.
Les États-Unis n'ont pas de capacité installée éolienne offshore mais deux projets sont en préparation sur la côte nord-est. Dans une déposition devant le Comité sénatorial de l'énergie et des ressources naturelles le 19 avril, M. Thresher a déclaré que le développement de l'énergie éolienne offshore permettrait de produire à concurrence de 70.000 mégawatts d'électricité éolienne alimentant le réseau électrique d'ici 2025, soit dix fois plus qu'aujourd'hui.
Ailleurs dans le monde, a-t-il ajouté, près de 600 mégawatts de capacité installée sont en mer, et aucune éolienne n'est construite sur des fonds de plus de 20 m de profondeur. Un programme de recherche-développement pourrait donner accès à des eaux plus profondes en créant des plates-formes flottantes pour éoliennes, semblables à celles utilisées pour l'extraction pétrolière.
L'objet d'un tel programme serait de ramener le coût de la production à 3 ou 4 cents par kWh d'ici 2020.
« A l'heure actuelle, a-t-il précisé, pour un site typique, le coût de l'électricité éolienne est de 4 à 6 cents le kWh. Cela ne semble pas beaucoup parce que le coût moyen de l'électricité aux États-Unis est de 8 cents le kWh, ce qui inclut le coût de l'outil de production et du combustible. »
Pour la production d'électricité, les produits de base sont les combustibles fossiles, tels que les produits pétroliers, le nucléaire, le charbon ou le gaz naturel ou des énergies renouvelables telles que l'eau et le vent ou une combinaison des deux, selon l'implantation géographique de la centrale.
Le problème de l'énergie éolienne, fait remarquer M. Thresher, est que le vent est intermittent et que les éoliennes ne sont donc pas toujours une source fiable d'électricité.
« Pour qu'une éolienne soit rentable, précise-t-il, son électricité doit coûter moins cher que le coût du seul combustible des autres centrales. Aux États-Unis, l'hydroélectricité est très bon marché, de l'ordre de 3 à 4 cents le kWh. Dans les centrales au charbon, le prix est probablement de 2 à 3 cents le kWh. Avec le gaz naturel, il est sans doute de 5 à 6 cents le kWh. À l'heure actuelle, l'électricité éolienne n'est compétitive que par rapport au gaz naturel aux prix en vigueur aujourd'hui. »
Importance des crédits d'impôts américains
M. Thresher explique que l'électricité éolienne ne peut être concurrentielle que si ceux qui travaillent dans le secteur bénéficient d'un crédit d'impôt à la production. Aujourd'hui, il existe un tel crédit d'impôt - de 1,9 cent le kWh - aux États-Unis mais il arrive à expiration le 31 décembre.
« Lorsque le crédit d'impôt à la production est en vigueur, dit-il, l'énergie éolienne explose parce que les gens peuvent gagner de l'argent. Mais si le crédit vient à expiration et si le Congrès ne le renouvelle pas, tout le développement va cesser. »
Pour M. McGowin de l'EPRI cela crée une situation de tout ou rien pour la technologie éolienne.
« En 2003, précise-t-il, 1.600 mégawatts ont été installés aux États-Unis, l'an dernier, moins de 400 mégawatts ; le Congrès a rétabli le crédit d'impôt jusqu'à la fin de 2005 et cette année, je suis certain que nous allons avoir plus de 2.000 mégawatts d'installés. »
De fait, ajoute-t-il, « avec la demande cette année civile, toute la production d'éoliennes de 2005 est déjà vendue. Cela s'explique par le fait que les États-Unis n'ont pas de politique cohérente en ce qui concerne la politique de crédit d'impôts pour l'énergie éolienne ou les autres énergies renouvelables. »
Au Centre national de technologie éolienne, l'objectif, selon M. Thresher, est de mettre au point des turbines plus performantes et de ramener le coût de l'électricité éolienne à 3 cents le kWh au cours des 10 prochaines années pour les sites de classe moyenne (classe 4) où le vent mesuré à 10 m de haut souffle à environ 21 km à l'heure.
Les États-Unis disposent de nombreux sites de ce genre. « Les États-Unis, dit-il, disposent d'une abondante ressource en vent. Nous avons beaucoup de terres ventées et nos ressources offshore sont très riches. »
Le vent ne souffle pas nécessairement au bon moment ou au bon endroit, poursuit M. Thresher. « Mais si on utilise le vent lorsqu'on le peut, on épargne du combustible et on réduit les émissions et les gaz à effet de serre. Au fond, on nettoie l'atmosphère lorsque l'on a l'occasion d'utiliser le vent. »
Eoliennes, Pour plus d'information, veuillez consulter les sites web suivants :
pour le Centre national de technologie éolienne : http://www.nrel.gov/wind/.
pour l' Electric Power Research Institute : http://www.epri.com/.
pour le SWERA : http://swera.unep.net/swera/index.php.
(Les articles du "Washington File" sont diffusés par le Bureau des programmes d'information internationale du département d'Etat. Site Internet : http://usinfo.state.gov/francais/)
source:
Tout sur les éoliennes
- Gapper: Groupement d’acteurs provinciaux de planification des énergies renouvelables
- Enercoop.be Coopératives Citoyennes
- éoliennes, rumeurs et réalités
- Des éoliennes en Région Wallonne PDF
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