Dans
les années 2000, la Wallonie ne comptait qu’une éolienne, installée à
Sain Vith en 1998, il fallait créer de mécanisme pour développer la
filière en Wallonie si la Wallonie voulait combler son retard sur l'Allemagne, le Danemark, la Hollande... L’électricité était vendue à 12 €/MWh, le mécanisme
du Certificat vert à 65: Le tout tentait d’atteindre
un prix de 100 € MWh. Les premiers projets se sont développés en
Wallonie avec un prix de revente globale entre 70 à 80 € MWh !!!, ce
prix largement dépassé depuis 2007 (115 à 135 en 2012 avec des pic à 180 en 2008). Une régulation
du prix doit intervenir pour ne pas dépasser ce seuil comme prévu par le
mécanisme mis en place (grace au facteur k et q prévu pour les CV du photovoltaïque quoiqu'en dise les bénéficiaires).
Depuis 2012 le stock très important de CV sur le marché crée une incertitude pour la garantie d’un CV à 65 € le marché ne trouvant plus d’acheteur, il faut se replier sur la garantie de la Région prise en charge par ELIA. (Le marché est saturé suite à l'exploitation de la centrale de Awyrs, du PV et de l'éolien)
Le prix de l’énergie étant lui toujours basé sur la bourse, ce qui augmente l’incertitude, un tarif garanti permettrait à un investissement d’être plus sur de ces recettes et pousserait les investisseurs à regarder l’optimalisation du projet sur base de la production et du coût d’installation (c’est le système mis en place en France qui fonctionne très bien à 82€ le MWh, tout comme au Québec). http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130529_00316923
Depuis 2012 le stock très important de CV sur le marché crée une incertitude pour la garantie d’un CV à 65 € le marché ne trouvant plus d’acheteur, il faut se replier sur la garantie de la Région prise en charge par ELIA. (Le marché est saturé suite à l'exploitation de la centrale de Awyrs, du PV et de l'éolien)
Le prix de l’énergie étant lui toujours basé sur la bourse, ce qui augmente l’incertitude, un tarif garanti permettrait à un investissement d’être plus sur de ces recettes et pousserait les investisseurs à regarder l’optimalisation du projet sur base de la production et du coût d’installation (c’est le système mis en place en France qui fonctionne très bien à 82€ le MWh, tout comme au Québec). http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130529_00316923
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