lundi 27 août 2007

Planification à une échelle intercommunale

En annexe(PDF), quelques exemples qui montrent l’importance d’une planification à une large échelle intercommunale afin d’éviter le mitage du paysage et de favoriser l’implantation de projets éoliens dans les secteurs les plus favorables.
Ainsi, ces exemples montrent la nécessité de prendre en compte très tôt la dimension paysagère d’un projet éolien. Cela permet de pouvoir étudier différentes configurations dans le respect des différentes contraintes d’un site et de composer des projets où les éoliennes viennent s’inscrire en harmonie avec les lignes de force du paysage préexistant. Dans de tels projets, les éoliennes deviennent de nouveaux éléments de repère dans le paysage et l’enrichissent de nouvelles clés de lecture.

source: http://www.cg50.fr/environnement/environnement/default.asp

vendredi 17 août 2007

Si les citoyens impulsent le changement, les politiques suivront inévitablement

L'idée est donc venue au père (Alain Hubert) de la Fondation Polaire Internationale de remettre son pays natal face à ses responsabilités et ses engagements avec ce projet de construction d'une nouvelle base scientifique belge en Antarctique, afin d'y étudier le phénomène des changements climatiques. Une base pas tout à fait comme les autres puisqu'elle sera la première au monde à fonctionner entièrement aux énergies renouvelables, grâce à ses 8 éoliennes et à ses 200 mètres carrés de panneaux solaires. "Si les citoyens impulsent le changement, les politiques suivront inévitablement" lâche-t-il.

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mercredi 15 août 2007

La problematique des eoliennes au Quebec

La problématique des éoliennes au Québec.
Articles intéressant... Nous avons finalement tous les mêmes préoccupations

Bernard Généreux, Maire de Saint-Prime.
Président de la Fédération Québécoise des Municipalités (FQM)

http://www.vigile.net/article8183.html

Développement éolien - Des élus municipaux à l’écoute du milieu
Bernard Généreux, Le Devoir, mardi 14 août 2007

L’actualité des derniers jours nous a permis de mesurer l’importance du dossier éolien pour la société québécoise. Si d’aucuns s’accordent pour applaudir au virage vert qu’a pris le Québec en misant résolument sur la filière éolienne, peu nombreux sont ceux qui avaient prévu la réaction des milieux d’accueil devant le déploiement de ces immenses moulins à vent dans les territoires habités.

Si la question de l’acceptabilité sociale, soulevée encore une fois ces derniers jours dans Le Devoir, est très pertinente et plus d’actualité que jamais, nous assistons par la même occasion à un léger dérapage du discours qui fait en sorte que les rôles et les responsabilités de chacun sont confondus. En tant que président de la Fédération Québécoise des Municipalités (FQM), qui représente plus de 920 municipalités et la presque totalité des MRC, et par le fait même la grande majorité des municipalités dans lesquelles s’implanteront ces parcs éoliens, je me dois de répondre aux critiques formulées à l’égard des municipalités et des MRC quant à l’absence de consultations populaires sur les projets éoliens.

Un développement « privé »

Lorsque le gouvernement du Québec a laissé tomber l’idée du Suroît au profit du développement éolien, il a confirmé qu’Hydro-Québec serait un acheteur d’énergie produite par des éoliennes appartenant à des compagnies privées, plutôt qu’un producteur d’énergie éolienne. Il eût été souhaitable, diront plusieurs, que le gouvernement profite de cette occasion pour tenir un réel débat de société sur la question avant de s’engager dans cette direction.

Que l’on soit d’accord ou non avec cette manière de faire le développement éolien, il n’en reste pas moins qu’aujourd’hui, c’est le contexte avec lequel il nous faut travailler, et ce, tant les municipalités que les citoyens ou les promoteurs.

À ce propos, je tiens à rappeler que la FQM fut dans les premières à dénoncer un certain laxisme gouvernemental dans l’encadrement de cette filière. Encore récemment, nous demandions au gouvernement d’obliger les compagnies à verser une redevance de 4000 $ par mégawatt installé afin que la population locale récolte une partie des bénéfices de l’exploitation du vent dans sa région. Rappelons-nous également que c’est à la suite de pressions répétées de la FQM et à l’approche de la dernière campagne électorale, que le gouvernement avait publié les orientations gouvernementales visant à appuyer les MRC pour l’élaboration d’une réglementation qui permette de favoriser une intégration harmonieuse des projets sur le territoire.

Rôles des municipalités

Au regard de ce qui vient d’être mentionné, le rôle des municipalités, particulièrement des MRC, consiste à définir un cadre d’accueil des éoliennes qui tienne compte tant des particularités du milieu que des préoccupations de la population. Ainsi les MRC peuvent, si elles le jugent nécessaire, procéder à des consultations publiques dans le cadre de l’élaboration de leur règlement de contrôle intérimaire (RCI). Toutefois, il ne revient ni à la MRC ni à la municipalité, contrairement à ce que plusieurs semblent croire, de procéder à des consultations particulières sur les projets que des compagnies privées projettent soumettre sur leur territoire. Ainsi, en montrant du doigt les municipalités pour l’absence de consultations et d’information relativement aux projets qui seront déposés à la mi-septembre, on oublie que ce sont des promoteurs privés qui développent les projets, et non des gouvernements locaux.

Par ailleurs, Hydro-Québec, lors de l’étude des soumissions, accorde des points supplémentaires aux projets qui ont recueilli l’appui des élus locaux ou lorsque les communautés locales (municipalités et MRC) sont partenaires dans les projets. De cette manière, les élus municipaux ont l’occasion, non pas de choisir ou de refuser des projets, mais plutôt d’appuyer ceux qui, selon eux, entraînent le plus de retombées pour la communauté. Selon ma conception du système démocratique québécois, c’est précisément le rôle des élus de voir au développement optimal de leur milieu. A fortiori, les conseils municipaux constituent également des lieux privilégiés pour les citoyens qui désireraient s’y exprimer sur les enjeux de leur communauté. Par conséquent, il m’apparaît erroné d’affirmer que les élus « manquent de distance et d’objectivité dans l’évaluation de ce qui est bon ou non pour leur région », comme cela fut mentionné dans l’édition du 8 août du Devoir. J’ai plutôt la conviction que c’est là leur première fonction.

En terminant, il est évident qu’en tant que président de la Fédération québécoise des municipalités, j’encourage vivement les MRC et les municipalités à être à l’écoute de leur population lorsqu’il est question de définir les conditions d’implantation des éoliennes sur le territoire québécois. Toutefois, il est essentiel de rappeler que dans le cas de l’appel d’offres en cours, les municipalités locales et régionales doivent travailler dans un environnement qu’elles n’ont pas choisi et qui a été défini par l’État québécois. Dans ce contexte, et en raison de leur pouvoir d’influence limité, il est du devoir des élus municipaux de chercher à maximiser les retombées collectives liées au déploiement des éoliennes sur le territoire. C’est d’ailleurs ce à quoi s’applique notre Fédération, notamment par la mise sur pied d’une société de développement éolien en partenariat avec le privé en vue du prochain appel d’offres de 250 MW qui sera exclusivement réservé aux régions pour des projets communautaires.

***

Bernard Généreux, Maire de Saint-Prime. Préfet de la MRC du Domaine-du-Roy. Président de la Fédération Québécoise des Municipalités (FQM)

samedi 11 août 2007

Le principal projet éolien dans la province de Namur

Serait-il en train de capoter ?

En tout cas, l'affaire ne se présente guère sous les meilleurs auspices pour le promoteur, la société Windvision. L'administration régionale, tant le fonctionnaire délégué que le fonctionnaire technique, vient de refuser le projet. Et, cas particulier, une des raisons invoquées est que les communes avaient elles-mêmes refusé les permissions de voiries.

Or, en la matière, les administrations communales sont maîtresses de la manoeuvre. Techniquement, le promoteur dispose d'un droit de recours auprès du ministre du Développement territorial, André Antoine (CDH). Mais même là, il n'est pas sûr que ce dernier pourra contraindre les communes. On imagine bien que Gesves et Ohey, qui avaient toutes deux remis un avis négatif, ne reviendront pas sur leur
décision. Rappelons qu'il s'agit de l'implantation de douze éoliennes dans la campagne de Borsu, à cheval sur les deux communes, dans un triangle qui relierait les villages d'Ohey, Gesves et Sorée. Ce projet n'est pas neuf. Les premiers contacts avec les administrations remontent à plusieurs années. L'annonce officielle date de la fin de l'année 2005. Au départ, le nombre de moulins à vent imaginés était de quatorze. Il a été ramené à douze après la réalisation de l'étude d'incidences qui avait mis en lumière des problèmes techniques. Le type de structures est un de ceux régulièrement cités, soit de près de 140 mètres de haut avec les pales.

Les enquêtes publiques, à Gesves comme à Ohey, avaient révélé un grand nombre de remarques négatives et une opposition de la population. Comme toujours lorsqu'on parle d'éoliennes, des particuliers ou des associations situées en dehors des frontières communales s'étaient exprimés. Néanmoins, ici, une très grande majorité des courriers émanaient d'habitants du cru. Et donc, au printemps dernier, les deux collèges s'étaient prononcés contre le projet. Du côté des communes, on attend la suite des événements. "Dans leurs rapports, les fonctionnaires régionaux s'attardent longuement sur les voiries, mais parlent peu de l'aspect paysager , remarque Didier Hellin (MR), échevin oheytois en charge du dossier. Il n'y a aucune remarque de fond qui s'oppose, sur ce plan, à l'implantation des éoliennes. Or, l'impact sur le paysage est pour nous un volet
essentiel. Je conteste d'ailleurs, à ce propos, l'analyse faite par la Région wallonne." Difficile de voir précisément quelle sera la suite des événements. Le projet n'est pas encore condamné, mais il est mal en point. Si Windvision laisse passer le délai de recours, il s'arrêtera là. Dans le cas contraire, une joute juridique pourrait bien se dessiner. lalibre.be

mercredi 8 août 2007

Les consultations populaires promises n'ont pas lieu


Seulement trois projets - tous de nature coopérative - ont été présentés formellement aux citoyens qui risquent d'être touchés directement par les impacts potentiels des parcs d'éoliennes.

À un peu plus d'un mois de la date butoir pour le dépôt des soumissions de l'appel d'offres lancé par Hydro-Québec pour l'achat de 2000 mégawatts d'énergie éolienne, tout indique que la très vaste majorité des projets que le gouvernement devra analyser n'auront pas fait l'objet de consultations des populations concernées. C'est ce que rapporte Le Devoir.

Selon le Comité régional pour un développement éolien acceptable, basé
dans le Bas-Saint-Laurent, seulement trois projets - tous de nature
coopérative - ont été présentés formellement aux citoyens qui risquent
d'être touchés directement par les impacts potentiels des parcs
d'éoliennes. Pourtant, au moins une cinquantaine de projets seront
soumis à la société d'État pour cette seule région. Et à l'échelle de
la province, «au moins 150 projets seront présentés, ce qui représente
environ 15 000 à 16 000 mégawatts, pour un appel d'offres de 2000
mégawatts», d'après le porte-parole du Comité, Martin Gagnon.

Dans un communiqué le Comité déplore que «les annonces de projets de
parcs éoliens se poursuivent à toute vitesse sans que l'ensemble des
citoyens ait la possibilité de s'informer et de débattre des avantages
et des inconvénients pour le développement de nos communautés».

Et comme la date butoir fixée par Hydro-Québec arrive à grands pas et
que les choses ne bougent pas, le Comité demande carrément la
suspension de l'appel d'offres.

M. Gagnon souligne que, bien souvent, les promoteurs privés, même
lorsqu'ils sont associés aux municipalités ou aux municipalités
régionales de comtés, ne se soucient guère des inquiétudes formulées
par les citoyens. Il ne mâche d'ailleurs pas ses mots, affirmant que
les promoteurs cherchent uniquement à discuter avec les personnes qui
acceptent de signer un contrat stipulant qu'ils souhaitent rendre
leurs terres disponibles pour y accueillir des éoliennes.

Le gouvernement du Québec a pourtant déjà fait valoir l'importance de
s'assurer de l'acceptabilité sociale des projets éoliens, en février
dernier. Il avait alors annoncé une série de mesures destinées à
«améliorer les conditions entourant le développement de l'énergie
éolienne au Québec». On indiquait notamment que «les projets proposés
devront respecter les conditions indispensables à un développement qui
soit durable, ce qui implique notamment qu'ils soient socialement
acceptables pour la population concernée et que leur réalisation soit
harmonisée avec les activités déjà présentes dans le milieu et celles
envisagées».

Québec avait même reporté la date butoir du dépôt de l'appel d'offres
du 15 mai au 15 septembre, soulignant que «les MRC concernées
disposeront ainsi d'un peu plus de temps pour consulter leur
population».

Anne-Stéphanie Lebrun, du groupe Éole prudence, souligne toutefois que
leurs nombreuses demandes de rencontres auprès de différents
ministères sont restées lettres mortes. Même chose du côté des élus
municipaux du Bas-Saint-Laurent.


Presse Canadienne (PC) 07/08/2007 09h46

http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/08/20070807-094648.html

samedi 4 août 2007

Le nucléaire n'est pas la solution à la crise climatique

Le nucléaire n’est pas la solution à la crise climatique

Ce texte récemment publié dans Ouest France et signé Cécile Duflot, Secrétaire nationale des Verts, nous a été transmis par Michael Luzé :

Avant même de rencontrer les principales organisations environnementales pour le Grenelle de l’environnement, Alain Juppé, bref ministre d’Etat chargé de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durable, affirmait qu’il n’existe pas de « solution sans le nucléaire ». Cette position inflexible confortait les partisans du nucléaire répétant inlassablement : « Le nucléaire ne produit pas de CO2 ». Il convient de répondre à certaines contrevérités largement répandues.

S’il est effectivement peu émetteur de gaz à effet de serre, le nucléaire ne représente que 2% de la consommation finale d’énergie dans le monde, il ne permet donc d’économiser qu’une infime part des émissions de gaz à effet de serre. Seule la construction immédiate de plusieurs milliers de réacteurs dans le monde, notamment dans des régions géographiquement et politiquement instables, permettrait au nucléaire de jouer un rôle face à la crise climatique. L’exemple iranien et bien d’autres dans le monde, rappellent chaque jour qu’un usage civil du nucléaire peut mener au nucléaire militaire.

De plus, en confondant habilement énergie et électricité, les férus du nucléaire se gardent bien de rappeler que les secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre, comme les transports ou l’agriculture, utilisent bien peu d’électricité ! Dès lors, le nucléaire ne saurait être d’une quelconque utilité dans la réduction de CO2 et autres gaz incriminés.

D’autre part, le nucléaire ne garantit pas l’indépendance énergétique de la France. L’uranium utilisé dans les centrales est importé dans sa totalité et les stocks sont limités à une durée d’environ 70 ans. Si le monde entier, à l’exemple de la France, se jetait dans l’impasse nucléaire, cette durée se réduirait à 10 ans.

Le chantage à l’emploi autour du nucléaire est aussi un dangereux alibi. Alors que nos partenaires qui sortent du nucléaire créent un grand nombre d’emplois dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l’énergie, la France ignore ces marchés du futur. Elle refuse ainsi de créer des emplois durables, non-délocalisables et équitablement répartis sur le territoire.

Une réelle volonté politique qui ferait le choix de l’efficacité énergétique pourrait potentiellement réduire notre consommation énergétique de 50% sans altérer notre confort. La fin du gaspillage est la seule véritable garantie de notre indépendance énergétique. En concentrant plus de 90% des subventions publiques allouées à l’énergie, le nucléaire se rend même coupable de priver les alternatives existantes des moyens qu’elles nécessitent pour constituer une réelle solution face à la crise climatique.

Dépassé, anti-démocratique et coûteux (bien au-delà des prix indiqués sur les factures EDF), le nucléaire bénéficie d’un acharnement thérapeutique qui s’opère au détriment des réelles attentes des citoyens, mais aussi et surtout, des générations futures.

Il est une autre politique plus réaliste. Nous pouvons choisir la fin du gaspillage, les énergies renouvelables et le développement soutenable pour notre pays. Les études à l’appui d’un scénario alternatif au nucléaire ne demandent qu’à être mises en oeuvre. Faut-il encore avoir le courage, l’intelligence et la responsabilité de sortir des schémas du siècle passé !

Cécile Duflot, Secrétaire nationale des Verts

| Par Cécile Duflot, Secrétaire nationale des Verts

jeudi 2 août 2007. http://cdurable.info/spip.php?breve714

jeudi 2 août 2007

sortie progressive mais volontariste du nucleaire

Inter-Environnement Wallonie, Greenpeace et le Bond Beter Leefmilieu
demandent aux négociateurs de revoir leur position lorsque l'accord
négocié aujourd'hui reviendra sur la table pour être finalisé.
Derrière la sortie du nucléaire, c'est toute la question de notre
approvisionnement énergétique futur qui est en jeu. Il n'est plus
temps de gérer le présent ; il est devenu aussi impératif et urgent de
préparer l'avenir … qui ne pourra passer que pour la sortie
progressive mais volontariste du nucléaire.

http://www.uitstapkernenergie.be/fr/nieuwsinh.php?aid=164

Source: IEW-BBL-Greenpeace
Date: 02/08/2007

éoliennes actualités

Bientôt une circulaire pour fixer les critères d'implantation des ... Actu-environnement.com - Paris,France Cette circulaire devait plus particulièrement éclaircir la situation concernant les radars et la distance minimale à laquelle les éoliennes doivent s'en ... Afficher tous les articles sur ce sujet

Double démission à l'UCFO Le Droit - Ottawa,Ontario,Canada M. Bourdeau a louangé l'implication de celui-ci dans plusieurs projets, notamment pour son travail avec la coopérative d'éoliennes de l'Est ontarien. ... Afficher tous les articles sur ce sujet

Eolien : des difficultés se profilent pour le champion des ... Enviro2B - Rennes,Ille-et-Vilaiine,France En 2006, éoliennes et composants ont été fabriqués pour une valeur totale de 5,6 milliards d'euros. Toutefois, d'après une étude de l'institut éolien ... Afficher tous les articles sur ce sujet

mercredi 1 août 2007

Animations scolaires - l'ecole du vent



Une journée d’animation pour les enfants de 8 à 12 ans

Objectifs: Les enfants après l’animation sont capables d’expliquer les atouts liés au domaine de l’éolien : la production d’énergie (d’électricité) de manière non polluante, à partir d’une source renouvelable. Les enfants peuvent aussi expliquer les conditions à l’installation d’une éolienne (un site à potentiel venteux) et sa contrainte (le vent n’est pas constant).

Coût: Le coût de l’animation est 5 € par enfant ( 100 € pour un groupe de 20 enfants). Le groupe est limité à 25 enfants pour assurer la qualité du travail pédagogique (5 € par enfant supplémentaire). L’asbl peut accueillir au maximum 2 groupes au cours d’une même journée. Des arrangements peuvent être demandés à l’asbl


Déroulement: Les enfants sont accueillis sous la yourte mongole et sous chapiteau dans un site naturel exceptionnel. Et tout commence par la légende d’Ulysse et sa rencontre avec le Roi Eole, maître des vents. Ensuite, ils partent tous sens en éveil, à la recherche de trésors légers et aériens dans ce beau paysage de Famenne. Suivent alors la construction d’un carillon à vent, l’installation de la girouette et des expériences variées pour comprendre d’où vient le vent, cette source d’énergie sans cesse renouvelable…L’après midi est consacrée à la découverte de l’éolienne des enfants et à sa production d’énergie verte. Les enfants enthousiastes deviennent alors dessinateurs, arpenteurs, ingénieurs, ou bricoleurs… et découvrent les secrets de ce grand moulin porteur d’avenir.

Méthode pédagogique: L’animation utilise le vécu de l’enfant. Celui-ci découvre le sujet par lui-même et par l’expérience qu’il fait avec le milieu. Elle est conçue en fonction de l’objectif, de l’âge des enfants et ne néglige pas l’apprentissage par l’expérimentation, le jeu, le partage et l’imaginaire de l’enfant. Les approches sont variées. Les enfants sont encadrés par des animateurs professionnels.

IndiSPENSAble: Bottes ou bottines de randonnée, vêtements chauds, veste imperméable, pique-nique dans une boîte à tartine et boisson (Les enfants repartent avec leurs déchets). Ils apportent une bouteille en plastic vide, cylindrique, ayant contenu de l’eau et ayant encore son bouchon.

ECOLE DU VENT - FICHIER PDF des ANIMATIONS

Durée? Une journée d’animation de 9h30 à 15h30
Pour Qui? Enfants de 8 à 12 ans
Quand? Les lundi, mardi, jeudi et vendredi en
avril-mai et septembre-octobre.
OU? Site de l’éolienne des enfants au Tienne du Grand Sart (site Natura 2000),
Mesnil-eglise, commune de Houyet (NAMUR).
5560 Mesnil-Eglise - Belgique

Tél : 32 (0) 82 68 96 76 - info@vents-houyet.be
Site : www.vents-houyet.be

Réservations? Asbl vents d’houyet T/F : 082/68.96.76



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